Posts Tagged ‘La rive sombre de l’Èbre’

Sur Gwordia, blog littéraire de Charlotte Sapin

Escale du livre de Bordeaux, entretien sur France Bleu Gironde

“La rive sombre de l’Ebre” Entretien avec Rodolphe Martinez. Radio France Bleu 01 04 2013

Revue de presse : La Cause Littéraire

Le Monde des Livres. 15 02 2013

Odeurs et parfums dans “La rive sombre de l’Èbre”

Voici une analyse singulière qui me plaît beaucoup, signée Betty Pujades. Il y a une composante dans ce roman dont j’aimerais parler. Elle était déjà présente dans “les îles du Santal” mais j’y ai été plus sensible ici, peut-être parce que je les connaissais, étant d’origine catalane. Ce sont les odeurs. En fait, il me [...]

“La rive sombre de l’Ebre” et “Enfants de la mémoire” à la Casa de España, Toulouse.

Présentation des deux ouvrages par Fabrice Corrons, maître de conférences Catalan-Espagnol à l’Université de Toulouse-le-Mirail, laboratoire LLA-CREATIS. Présentation du roman par Fabrice Corrons. 09 02 2013 VIDEO Voici deux ouvrages publiés chez Elytis autour d’histoires de la République Espagnole : – Enfants de la mémoire. 32 victimes de la guerre d’Espagne racontent, traduction d’un ouvrage [...]

Pourquoi ce roman ? Vidéo Mollat

Présentation du roman à la librairie Mollat. 24 01 2013 VIDEO

La rive sombre de l’Èbre

Avril 1938. L’offensive des troupes franquistes sur le haut-Aragon fait fuir des milliers d’Espagnols vers la France par les cols pyrénéens. Au cours de cette première “retirada”, une femme épuisée accouche en pleine montagne, dans la neige. L’enfant sera Français. Son père, resté sur le front, ne reviendra pas de la bataille de l’Èbre. À [...]

À quoi bon écrire des livres si on n’invente pas la vérité ?

Citation de Jorge Semprùn. Le mort qu’il faut La vérité est cette chose insaisissable dont chacun ne voit qu’une partie, avant qu’elle ne soit déformée par d’autres et disparaisse. Certaines vérités se perdent dans l”oubli, irrémédiablement. Or l’oubli est mon ennemi personnel. Je le combats avec mes armes. L’écriture est la principale. Je ne saurai jamais [...]